Par toutes ses vagues
La mer vient dire au rivage
Ses secrets d'écume
Pleur de pur azur
En regardant l'horizon
je ne vois que ciel
Les poissons caressent
Ses cheveux d'algue
Et lisent son sable
Parfois animale
Elle frappe les rochers
De ses lèvres pales
Et parfois elle dort
Gigantesque lame ourlée
De dentelle blanche
Le phare se tient
Berger immobile et calme
Malgré ses crachats
Ô mère génitrice
Qui berce tous ceux qui rêvent
De partir au loin
Viens me laver l'âme
Et m'emporter vers le large
Pour renaître au Ciel
Claude Lopez-Ginisty
Photo:
2 commentaires:
Claude bonjour
modestement en écho :
Un grand souffle marin
déposant sur la grève
les rêves des mondes lointains
Très chaleureusement
La photo est magnifique...!
quant au poëme, j'en suis encore à me répéter la première strophe sans oser aller plus loin !!!
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