mercredi 5 décembre 2018
jeudi 3 mai 2018
Árstíðir og tilfinningar
En monotone rêverie
Les nues égrènent leur collier
Sous un ciel de mélancolie
Le jardin est mort en janvier
Après une lente symphonie
Qui a dépouillé le rosier
De sa frêle et belle harmonie
Pendant l'automnal brasier
Le jardin est mort en janvier
Comme une triste hémorragie
Le temps fuit au calendrier
Et le chant de son agonie
Incite le ciel à prier
Un chapelet de litanie
Le jardin est mort en janvier
Soleil qui peut tout raviver
A touché de ses doux rayons
L'herbe le vent les papillons
Le jardin est ressuscité
Claude Lopez-Ginisty
dimanche 15 avril 2018
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