dimanche 26 juin 2016
Εισβολή των λουλουδιών
Εισβολή
των
λουλουδιών
La tempête blanche
Des pâquerettes au sol
Vieillit la pelouse
Claude Lopez-Ginisty
mercredi 9 mars 2016
Chevalier
Comme le chevalier de quelque livre ancien
Je suis venu vers toi
Je suis venu vers toi
d'un pays lointain
J'ai utilisé des mots
que tu n'avais jamais entendus auparavant
et tu as souri
pour me faire comprendre
que tu ne me comprenais pas
J'avais vécu une vie
où les chansons finissaient en un sanglot
et je suis resté
un passant dans le regard de Dieu
J'avais erré trop longtemps
dans des paysages
d'amours impossibles
Bien-aimée
je le savais
bien avant mon arrivée
la vie n'est qu'un poème sans fin
une chanson sans notes
sur les lèvres d'un mendiant muet
les rues avaient l'habitude de réciter
une sorte de prière dans l'obscurité
bien avant que je ne réalise
que j'étais mortel
Je me sens comme un vieux chevalier
Espagnol par filiation
et privé de mes moulins à vent
et si je te souris
le monde connaîtra une nouvelle aube
même si tu ne souris pas en retour
et que tu me dis brusquement
que je suis un étranger
J'ai utilisé des mots
que tu n'avais jamais entendus auparavant
et tu as souri
pour me faire comprendre
que tu ne me comprenais pas
J'avais vécu une vie
où les chansons finissaient en un sanglot
et je suis resté
un passant dans le regard de Dieu
J'avais erré trop longtemps
dans des paysages
d'amours impossibles
Bien-aimée
je le savais
bien avant mon arrivée
la vie n'est qu'un poème sans fin
une chanson sans notes
sur les lèvres d'un mendiant muet
les rues avaient l'habitude de réciter
une sorte de prière dans l'obscurité
bien avant que je ne réalise
que j'étais mortel
Je me sens comme un vieux chevalier
Espagnol par filiation
et privé de mes moulins à vent
et si je te souris
le monde connaîtra une nouvelle aube
même si tu ne souris pas en retour
et que tu me dis brusquement
que je suis un étranger
trop bien connu
Claude Lopez-Ginisty
*
lundi 15 février 2016
L'âme des pays sages
Douceur sans pareille
Le silence est océan
Où le soleil dort
Et le paysage
Enveloppé d'or
S'avance immobile
Le moindre brin d'herbe
Retient la terre sous lui
Et le val sommeille
C'est l'heure paisible
Où toute beauté obvie
Nous révèle Dieu
Passe ton chemin
Toi qui ne vois jamais rien
Pas même ton ombre
A trop ignorer
Ce que tu crois inutile
Tu n'existes plus
Et le paysage
Suppose que tu es vain
Comme un vent d'été
Claude Lopez-Ginisty
mercredi 20 janvier 2016
dimanche 10 janvier 2016
Symphonie
交響曲
Elle est si fragile
La musique de ce monde
Qui meurt en silence
Le Verbe demeure
Et sa mélodie du Ciel
Résonne à jamais
Claude Lopez-Ginisty
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