风
月
无
边
[Fēng yǔ yuè]
風
與
月
Fēng yǔ yuè
Quand le Ciel s'abaisse
Tout soudain pour rendre obvie
Notre peu d'importance
Nous sommes comme toile
Que l'araignée laisse au vent
Et nos pensées claires
Suivent le vent qui s'enfuit
Cousues aux nuages
Notre songe enfui
Nous chercherons vainement
Sa trace fugace
L'ombre se fait nuit
Et répète son echo
A l'œil mort de lune
Les êtres sont compatibles
avec le vent
et la lune
*
CLAUDE LOPEZ-GINIDTY